La vie de Julien Lieb a basculé grâce à sa participation, il y a quelques mois, à la Star Academy. Le jeune homme, qui est actuellement sur les routes avec certains de ses camarades d’aventure, a tant séduit le public qu’il a réussi à aller jusqu’en finale de l’émission de TF1. S’il a perdu face à Pierre Garnier, qui cartonne depuis avec Ceux qu’on était, Julien a pu lui aussi sortir son premier single baptisé Comme tout le monde. Une chanson sur laquelle il vient de faire une confidence inattendue.

Que pense vraiment Julien Lieb de son single ?

Invité ce jeudi de Pyrénées FM, Julien Lieb est revenu sur cette chanson sortie le 1^er mars dernier. Il a ainsi expliqué qu’il a douté face à la diffusion rapide de cette chanson qui, visiblement, n’était pas totalement parfaite à ses yeux même s’il a pu changer quelques détails. “C’était vraiment une inquiétude, pour moi. On était dans la Star Ac’ et je me demandais si tout n’allait pas trop vite. Finalement, j’ai été vachement écouté sur plein de choses (…) Moi je suis extrêmement perfectionniste et presque lourd par rapport à ça. On n’a évidemment pas eu assez de temps pour le peaufiner au maximum. Mais je suis content du résultat final, je suis content de pouvoir le chanter tous les soirs sur scène”, a-t-il avoué.

Julien Lieb heureux malgré tout

Interrogé sur son rythme intense depuis la fin de la Star Academy, Julien a souligné à quel point “travailler autant était une chance”. “Etre vu et sur scène tout le temps, bien sûr c’est fatiguant, mais en même temps c’est magnifique”, a-t-il ajouté en précisant que c’était assez différent de ce qu’il avait vécu pendant l’émission Star Academy. “Quand je ne suis pas en tournée, moi je suis en studio en train d’écrire ou j’ai des rendez-vous, donc on ne s’arrête jamais vraiment. Mais il y a moins de pression dans le sens où il n’y a pas d’évaluations, de primes à assurer sur TF1, la peur de partir… Il n’y a pas non plus le fait d’être isolé (…) On le vit quand même mieux, a ajouté le jeune artiste. Au début, tu es chamboulé quand tu rentres là-dedans (le château, ndlr)… Tu n’as plus de vie privée car tu es filmé tout le temps (…) ça a été mais il y avait des choses qu’on vivait moins bien que d’autres”.